|
|
|
|
|
|
Toute activité qui favorise l’étude de soi, l’examen de son comportement, de ses émotions et de ses pensées relève de svadhyaya. C’est donc tout aussi bien savoir prêter attention à ce que l’on ressent et pense durant la pratique, que lire, étudier, se nourrir d’expériences rapportées par d’autres et qui trouvent un écho en nous. Mais il s’agit moins d’une quête que d’une posture intérieure ; lorsque nous sommes dans cette attention à ce qui se passe en nous, les livres ou les rencontres nourrissantes viennent à nous, plus que nous les choisissons. L’écoute de soi engendre une écoute plus largement ouverte sur l’extérieur.
http://www.psychologies.com/
La deuxième branche du yoga (qui en compte huit) selon Patantanjali, niyamas, concerne les attitudes envers soi-même. Le yoga sutra prône l’observance de cinq principes : Saucha la pureté, garder notre corps et ce qui nous entoure en état de propreté et de netteté. Samtosha le contentement ou la faculté de se sentir à l’aise avec ce que l’on a et avec ce que l’on n’a pas. Tapas ou l’ascèse du juste milieu. Swadhyaya l’étude de soi, par le chant, la lecture des textes sacrés. Ishvarapranidhana la vénération d’une intelligence supérieure
« Par la pratique des tapas, les impuretés sont détruites et le corps et les sens deviennent parfaits »
Tapas signifie : action , effort ardent, ferveur, autodiscipline, austérité, ascèse, chaleur…
Tous ces mots traduisent l’idée que l’adepte souhaite se forger le caractère en vue d’atteindre un certain objectif dans la vie. Cette volonté de transformation s’applique aussi bien au corps qu’à la parole ou à l’esprit. Cette discipline de vie signifie ici aussi l’ascèse du juste milieu qui satisfait les besoins réels de l’être, c’est- à- dire prendre soin du corps, de l’esprit sans les encombrer d’éléments inutiles ou nuisibles.
Lorsque l’on commence une activité, cela demande pas mal d’effort, de discipline et de motivation. Il arrive, surtout quand on débute, que l’on soit découragé : « je n’arriverai pas à faire cette posture, c’est bien trop dur le yoga ». Mais il n’y a pas de miracle et il y a qu’une seule façon d’y arriver : pratiquer encore et encore, en essayant différemment. Le yoga prend du temps. On a parfois envie d’aller plus vite, être plus fort, plus souple, faire des postures impressionnantes. L’important est le cheminement. Le yoga, c’est une pratique régulière, constante, pour que les progrès se fassent et s’impriment dans notre corps. Pratiquer régulièrement cette discipline, c’est cultiver l’effort. C’est valable pour d’autres activités : apprendre une langue, apprendre à jouer un instrument de musique, courir sur des longues distances, etc..
Insufflez de la flamme à votre pratique comme à votre existence, y compris dans les aspects les plus banals de votre vie. Le tapas nous incite à l’autodiscipline qui nous permet de rester concentré sur notre voie spirituelle.
Rester concentré sur ces objectifs, c’est déjà s’en approcher. Soyez tenace et ne cédez pas à la tentation de renoncer. ;-))
Pratiquement, comment appliquer tapas … sur mon tapis ? Comment est-ce que je dose mon effort pendant ma pratique? Est-ce que j’en fais trop ou pas assez ? Est-ce que je reviens régulièrement faire du yoga ?…
Et … dans la vie de tous les jours ? Ai-je un bon équilibre sur tous les plans de ma vie quotidienne : sommeil, activité physique, réflexion, loisirs, nourriture, pratique de yoga… sinon comment retrouver le juste milieu ?, Cette ascèse ne s’obtient -elle que par la volonté ?, Qu’est-ce qui est important dans ma vie ?…
(Sources : le yoga malin -Mathilde Piton , Yoga manuel pratique -Jacques Choque, Yoga-Sutra de Pantanjali- B.Buanchaud.)
Cette notion de Kriya-Yoga est introduite dans le premier sutra du deuxième chapitre. Le Kriya-Yoga ou Yoga de l’action, est composé de 3 éléments, qui doivent être développés simultanément. TAPAS – SVADHYAYA – ISHVARA PRANIDHANA
Idée de nettoyage, de purification. Concerne surtout le plan corporel. C’est la pratique (les postures, les respirations), mais aussi l’hygiène de vie (alimentaire, sommeil, …) pour ne pas s’intoxiquer.
C’est l’étude de soi. Apprendre à se connaître :
C’est s’en remettre à ce qui nous dépasse. Accepter nos limites, nos insuffisances, que nous ne comprenions pas tout. C’est avoir confiance, abandonner le fruit de l’action, déposer aux pieds du Seigneur (niveau spirituel)
Patanjali nous dit que la pratique du Kriya-Yoga (donc de ces 3 éléments) permet d’avoir un avant-goût de Samadhi (de l’état d’union, de béatitude) et aussi de diminuer la souffrance due aux afflictions (klesha).
La pratique est donc notre moyen d’action. Mais quel type de pratique ? Faire des exercices physiques et respiratoires, et laisser à nouveau le mental entraîner la conscience dans le tourbillon de ses modifications incessantes ? Le mot Tapas exprime que notre vigilance, notre intérêt pour cette connaissance de la réalité, doit être constante, ininterrompue, qu’elle doit s’exercer dans les actes simples du quotidien afin de développer l’intuition de soi que Patanjali appelle Svadhyaya.
Que ce mot signifie à la fois étude de soi et étude des textes sacrés est révélateur. C’est l’êtreté qui donne un sens au savoir. La connaissance des textes est inutile si elle ne recoupe pas la connaissance de soi, dans l’expérience de la pratique.
Et ce travail intérieur ne porte ses fruits que si on le soutient avec patience et humilité, dans l’acceptation de ce qui est, dans un état d’abandon au Seigneur, dit Patanjali, qui, à nouveau, nous rappelle que la juste attitude face à la vie ne peut ignorer la dimension divine.
http://yoga-sdg.over-blog.com/
Le yoga, discipline millénaire en provenance de l’Inde a fait une entrée fulgurante en Occident depuis plus d’un demi-siècle. Aujourd’hui plus que jamais, ses bienfaits sur la santé globale sont vantés partout! Les campagnes publicitaires diverses l’ont bien compris et se servent d’images de yogis pratiquant des postures pour vanter les mérites de tel produit ou service pour votre bonheur et votre sérénité!
Si le yoga peut contribuer, entre autres, à améliorer la santé cardio-vasculaire et cardio-respiratoire, à réduire les troubles musculo-squelettiques, à traiter l’insomnie, les maux de tête, la dépression, etc., il est bon de se rappeler encore et toujours, comme Swami Sivananda le disait souvent : « une once de pratique vaut mieux qu’une tonne de théorie ».
Voyons donc alors ensemble comment le yoga peut convenir par sa pratique à toutes les phases de la vie humaine et s’intégrer dans un style de vie des plus bénéfiques à tout âge.
Une femme enceinte, dès le premier trimestre de grossesse, a tout avantage à pratiquer du yoga prénatal, spécialement adapté pour cette période si magnifique et si intense de la vie. Autant sur le plan physique, psychologique qu’émotionnel, la grossesse et l’accouchement constituent une aventure aux multiples perturbations pour un corps humain. Le yoga, travaillant toutes les dimensions de l’être dans sa globalité (pour les unir), s’attardera donc grâce aux postures visant à soulager le dos, le nerf sciatique et à préparer le bassin et le plancher pelvien. Mais il préparera aussi la future maman, grâce à la respiration, la relaxation, la visualisation et la méditation à affronter le grand jour de la naissance avec plus de sérénité et de conscience.
Une fois le bébé arrivé, dès qu’il a deux mois et demi, une maman peut sans crainte faire du yoga avec son poupon, permettant ainsi la création d’un lien affectif unique par le toucher, le mouvement et la respiration tout en se remettant en forme en douceur. Je suis toujours émerveillée de voir ces bébés qui après 2 ou 3 séances de yoga suivent la relaxation guidée, blottis contre leur mère, et reviennent au mouvement progressivement quand elle est terminée et que je les y invite.
Dès son plus jeune âge, le bambin va s’adonner à certaines postures de yoga en imitant un adulte. Rappelons-nous que, sans le savoir, son émerveillement dans l’instant présent, sa concentration et son application dans le jeu sont autant d’attitudes de yogi.
Le yoga n’étant pas seulement une gymnastique physique se limitant à des postures mais bien plus une qualité de vie et de connaissance de soi, de recherche de l’union entre le corps, le mental et l’esprit. C’est un immense cadeau que l’on fait à son enfant que de l’initier très tôt à cette merveilleuse discipline.
Dès 3 ans l’enfant pourra suivre seul ou avec ses parents, frères et sœurs une petite séance de yoga spécialement adaptée pour lui ou pour la famille.
De plus en plus de parents, de garderies, d’écoles utilisent le yoga ponctuellement ou même à chaque jour pour aider les enfants à mieux gérer leur stress, tout en découvrant leur corps et ses multiples possibilités de mouvement dans un climat de respect, de non-violence et de non-compétition. Les enfants aux besoins particuliers (hyperactifs, déficit d’attention, autistes, etc.) en retirent également d’immenses bienfaits.
D’un naturel flexible les enfants s’adonnent avec grand plaisir à ce jeu fascinant qui consiste à imiter des animaux ou des éléments de la nature. La relaxation leur est aussi extrêmement bénéfique et ils vont même la réclamer avec hâte à la fin d’une séance, pour se reposer des efforts physiques accomplis, mais aussi parce qu’ils veulent s’évader dans « le petit écran en arrière de leurs yeux. ».
Dès la fin de son primaire un jeune pourra suivre plus facilement les mêmes postures et enchaînements qu’un adulte. À l’adolescence, le yoga peut aussi merveilleusement aider les adolescents à accepter et à bien vivre les changements intenses vers l’âge adulte, autant sur le plan physique, hormonal, psychologique qu’émotionnel.
Le yoga s’adapte à chaque personne et non le contraire et c’est au professeur d’adapter la pratique en fonction de l’âge mais aussi de la condition physique, des limitations éventuelles, de la morphologie et de l’état de santé de la personne.
Selon l’enseignement classique du yoga pour porter ses fruits, le yoga doit être adapté adéquatement à chacun.
Les aînés pourront eux aussi, de façon sécuritaire, s’adonner à cette discipline et ils pratiqueront alors plus souvent avec une chaise et adapteront les postures pour répondre aux changements inévitables que le temps imprime sur leur corps.
Une chose est certaine : maintenir une activité physique quotidienne contribue à garder un corps sain et un esprit serein !
Tout le monde peut s’adonner aux postures de Hatha-yoga; nul besoin d’être très souple comme un gymnaste ou un athlète olympique. Le yoga est pour tous, en autant que l’on choisisse la forme de yoga et le type d’enseignement qui nous conviennent, en vérifiant toujours l’expérience et la formation du professeur, pour se laisser guider adéquatement vers son mieux-être.
Gaëlle Cosnuau
Le grand André Van Lysebeth affirmait que la respiration yogique complète est la seule normale puisqu’elle englobe en un seul processus les diverses façons partielles de respirer:
« a) la respiration abdominale, provoquée par l’aplatissement et l’abaissement du diaphragme;
Comment apprendre, en pratique, cette respiration?
Ecoutons-le lorsqu’il nous explique comment procéder.
« Une bonne respiration commence non seulement par une expiration complète et lente, mais aussi que cette EXPIRATION parfaite est la condition sine qua non d’une inspiration correcte et complète, pour la raison bien simple qu’on ne peut remplir un récipient que s’il a été préalablement… vidé! Impossible de bien respirer si nous n’expirons pas d’abord à fond. »
Une fois cet air résiduel réduit au maximum, la respiration yogique complète peut commencer. Elle englobe les trois modes de respiration qu’elle intègre en un seul mouvement ample et rythmé.
« L’apprentissage se fera couché sur le dos de préférence. »
En voici en raccourci les diverses phases.
Tout d’abord l’inspir:
« Commencez par une inspiration lente et profonde du ventre, et lorsque vous sentez que celui-ci ne peut se gonfler davantage, écartez les côtes et faites pénétrer encore plus d’air dans les poumons. Quand les côtes sont ouvertes au maximum, soulevez les clavicules pour faire entrer encore un peu d’air. Vous êtes, cette fois, rempli d’air au maximum. Toutefois, il ne faut pas vous gonfler comme un pneu, cela doit rester aisé et confortable.
Evitez de contracter les muscles des mains, ou ceux du visage ou du cou, spécialement pendant la dernière phase (claviculaire) de la respiration. Les trois mouvements, comme nous l’avons dit au début, doivent s’exécuter en «fondu enchaîné» tout en restant nettement distincts et discernables pour un observateur extérieur. »
Durant toute l’inspiration l’air doit entrer progressivement, sans saccades, en flux continu. Vous ne devez faire aucun bruit en respirant. Il est essentiel de respirer silencieusement.
TRES IMPORTANT: votre esprit doit être concentré entièrement sur l’acte respiratoire. »
Puis l’expir:
« Quand vous avez empli les poumons complètement, expirez dans l’ordre de l’inspiration, toujours lentement, sans saccades ni effort. Bien rentrer l’abdomen à la fin de l’expiration. Recommencer ensuite à inspirer de la même façon. Vous pouvez prolonger cet exercice autant que vous le désirez. Il ne doit provoquer ni gêne, ni fatigue. »
Puis Van Lysebeth nous rappelle qu’on peut pratiquer à tout moment, au travail, en marchant, partout. Qu’il est très important de respirer consciemment et aussi complètement que possible. Peu à peu, cette respiration deviendra facile et s’améliorera au fur et à mesure du temps passé à pratiquer. Il est bon de réserver chaque jour un moment, par exemple le matin au réveil, le soir avant de s’endormir, pour pratiquer pendant quelques minutes.
« Quand vous vous sentirez fatigué, déprimé, découragé, faites quelques respirations complètes: votre fatigue disparaîtra comme par enchantement, votre mental s’en ressentira et vous vous remettrez au travail avec un entrain renouvelé. »
Tout comme l’expiration, l’inspiration doit être silencieuse, lente, continue et aisée. Inutile de se gonfler comme un ballon, ne jamais forcer.
Puis Van Lysebeth nous met en garde contre une erreur assez répandue : après avoir gonflé le ventre en aplatissant le diaphragme, certaines personnes cessent de faire entrer de l’air à ce moment et rétractent le ventre comme pour faire remonter l’air dans le haut des poumons, du moins le croient-elles.
Quels sont les bénéfices liés à la pratique de la RESPIRATION DIAPHRAGMATIQUE?
Tout d’abord , cette respiration est extrêmement relaxante.
Ensuite elle améliore de façon remarquable la circulation générale. En effet le diaphragme se comporte comme un second cœur : ses mouvements de piston aspirent du sang veineux en abondance, alimentant le cœur proprement dit en sang par l’arrière, et massant de façon très efficace – massage à la fois doux et puissant – les organes abdominaux.
Le foie est décongestionné et la vésicule évacue la bile en temps opportun, ce qui prévient la formation des calculs. La rate, l’estomac, le pancréas, et tout le tube digestif sont massés et tonifiés. Les stases sanguines sont éliminées. Les «glou-glou» entendus pendant la pratique sont un excellent indicateur de l’activation du péristaltisme digestif !
Avec l’entraînement, cette respiration devient rapidement de plus en plus ample et souple, relaxée et rythmée. Au début elle était saccadée et difficile, du moins chez les personnes tendues. Elles seront surprises de leurs progrès rapides et de la paix qui s’installe en elles durant la pratique et dure encore de longues heures après !
Cette respiration décongestionne tout le plexus solaire, notre cerveau abdominal végétatif dont l’importance nous échappe trop souvent. Toute notre anxiété se cristallise à cet endroit, ce qui explique l’effet calmant et apaisant de la respiration abdominale.
Remarque: chez les personnes respirant habituellement seulement du haut des poumons, la respiration yogique complète provoque une sensation de vertige, anodine mais déplaisante. Pourquoi ?
L’effet de succion aspire littéralement le sang veineux du cerveau ce qui est très favorable. Toutefois chez les personnes légèrement hypotendues, cette légère baisse de tension intra-cérébrale entraîne une sensation de vertige.
Comment y remédier: rien de plus simple !
« Il suffit d’amener les jambes à la verticale, donc perpendiculairement au tronc puisque l’on pratique couché; la tension se rétablit aussitôt et le vertige s’efface instantanément. » Et ce ne sera pas une raison d’interrompre la pratique, car « en peu de jours l’organisme s’y adapte et ce léger inconvénient anodin disparaît. »
Pour conclure, n’oublions pas que:
« Oui, respirer c’est vivre. Mais respirer lentement c’est vivre longtemps. Et en bonne santé. »
J’apprends le yoga. André van Lysebeth. Ed. Flammarion
http://planeteyoga.hautetfort.com/
( prononcé comme Aum Num-ha-Shi pourquoi)
Om Namah Shivaya est connu comme le grand mantra rédemptrice aussi connu comme cinq syllabes mantra
La signification :
Il signifie «Je me prosterne devant Shiva. » Shiva est la réalité suprême, le Soi intérieur. Il est le nom donné à la conscience qui habite en tous.Shiva est le nom de votre véritable identitaire votre auto.
Selon la mythologie hindoue, il ya trois dieux qui dirigent cette création. Le Brahma – qui crée l’univers, le Vishnu – qui préserve l’Univers et de la Shiva- qui détruit à la fin de l’univers. Parmi les trois divinités, Shiva, bien que considéré comme destroyer, symbolisent aussi le – le moi intérieur qui reste intacte même après tout se termine.
Dans ce mantra le chalumeau (celui qui répète le mantra) incliner devant Shiva- son vrai soi.
Om Namah Shivay est un mantra très puissant. Il a été dit à propos de ce mantra que si ce mantra vibre continuellement dans votre coeur, alors vous avez pas besoin pour effectuer austérités, à méditer, ou de pratiquer le yoga. Pour répéter ce mantra vous avez besoin pas de rituels ou de cérémonies, ni devez vous répéter à un moment propice ou dans un endroit particulier. « Ce mantra est libre de toutes restrictions. Il peut être répété par toute personne, jeune ou vieux, riche ou pauvre et Peu importe l’état d’une personne est en, il sera le purifier.
Comment répéter «Om Namah Shivay ‘
Asseyez-vous dans un endroit et la position confortable et paisible. Commencer à répéter le mantra dans votre esprit ou bruyamment avec la même vitesse que vous parlez:
Om Namah Shivay (Aum Num-ha-Shi pourquoi)
Répétez ‘Om Namah Shivay’, avec le sentiment que vous êtes saluant Shiva – votre véritable moi intérieur. Répétez ce mantra avec respect. Le moi intérieur est la forme de Dieu en vous. Donc, comme vous le dites à savoir «Om Namah Shivay » Je me prosterne devant Shiva »;.. Vous êtes réellement Cédant à Dieu – le tout-puissant grand La répétition du nom de Dieu équivaut à être fusionnées dans son être même Lorsque vous répétez le nom de Dieu dans votre bouche, dans un sens, vous rencontrez le Dieu lui-même. Il suffit de répéter ce mantra avec foi et il est puissant vibrations phonétiques seront commencer à faire miracle pour vous.
YOGA ST MAXIMIN LA SAINTE BAUME
CONCENTRATION SUR plexus solaire
Plexus solaire est souvent appelé le cerveau abdominale. Il est un centre important des nerfs, connecté avec le système nerveux sympathique. Il est situé dans la région épigastrique, derrière le creux de l’estomac de chaque côté de la colonne vertébrale. Il a le contrôle sur les principaux organes internes de l’homme. Il joue un rôle beaucoup plus important que ce qui est généralement reconnu. Il prend une part importante dans le contrôle des émotions et des différentes fonctions corporelles. Il est composé de blanc et gris matière cérébrale. Il est l’une des parties les plus vitales de l’organisme. Un coup sur le plexus solaire est bien connu des hommes à la boxe comme un moyen facile de rendre un adversaire inconscient ou à tout impuissants de taux. Il est le magasin-maison de Prana. Il est la maison de puissance. Il est le plus important de tous les supports (Adharas) du corps, qui sont au nombre de seize. Il est un fait connu que les hommes ont été instantanément tué par un coup sévère sur le plexus solaire. Le plexus solaire est littéralement le soleil du système nerveux. Lorsque le soleil brille harmonieusement, l’ensemble du système physique est harmonieux. Elle irradie force et d’énergie à toutes les parties du corps. Pensées et Prana, lorsqu’elle est dirigée vers ce centre par pranayama, vont stimuler et éveiller le soleil y latente.
Tenez-vous droit dans Padmasana ou Siddhasana. Ferme tes yeux. Dessinez l’air lentement par la narine gauche aussi longtemps que vous pouvez faire avec confort. Gardez la droite fermée avec le pouce droit. Répétez Om mentalement. Puis retenir le souffle. Ont l’attention bien dirigée vers le plexus solaire. Concentrez votre esprit là. Avoir la pensée centrée sur elle. Ne faites pas de pression excessive de l’esprit ou effort excessif d’aucune sorte. Direct consciemment le Prana dans la région du plexus solaire par le souffle retenu. Imaginez: « Je respire dans Prana, le bonheur, la joie, la force, la vigueur, l’amour. » Puis expirez lentement par la narine droite. Puis inspirez par la narine droite, le conserver comme avant et expirez par la gauche. Répétez le processus 12 fois dans la matinée. La peur, la dépression, la faiblesse et autres émotions indésirables, qui se dressent sur le chemin de l’avancement spirituel, vont disparaître. Vous allez devenir de plus en plus confiants de la réussite dans la réalisation du Soi.
http://www.sivanandaonline.org