Cours Yoga Saint Maximin la Sainte Baume
http://www.yogamrita.com/
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Cours yoga Saint Maximin la Sainte Baume
https://youtu.be/25mZxfz2Zp0
merci a yog’lavie
Notre état de santé est entre nos mains! Elles sont plus précisément dotées de différents pouvoirs sur notre bien-être. Les quatre doigts et le pouce représentent les cinq principaux blocs de construction ou la «Panchamahabhootas » dont l’univers tout entier est fait. Les sciences naturelles nous disent que la maladie est une limitation, une restriction qui émerge dans la continuité et l’équilibre de ces cinq éléments.
La philosophie de la thérapie Mudra
La thérapie Mudra estime que les cinq doigts correspondent aux cinq éléments de base. A savoir, Ether, Air, Feu, Eau et Terre.
• Le pouce – Le Feu (Agni)
• L’index – L’Air (Vayu)
• Le majeur- L’éther (Aakash)
• L’Annulaire – La terre (Prithvi)
• L’auriculaire- L’eau (Jala)
Afin d’équilibrer les cinq éléments, il existe quelques méthodes spécifiques en rapport avec le toucher et à l’alignement des doigts. Ces méthodes sont appelées « As-mudras « .C’est une thérapie qui est facile et réalisable. Elle peut être pratiquée à tout moment, comme palliatif à la maladie et comme un outil pratique pour la restauration de votre bien-être.
Comment utiliser la thérapie Mudra de l’alignement de la main pour une santé purifiée :
Utilisez Akash Mudra pour les problèmes d’oreilles. La Dhyan Mudra pour la concentration du pouvoir, la dépression et pour tous les problèmes de l’esprit qui en découlent. La Hridya Mudra pour les maladies du cœur, l’asthme et les maladies de respiration. La Jala Mudra pour la purification du sang et toutes les maladies de la peau. La Prana Mudra pour les problèmes oculaires, les problèmes nerveux et recharger toutes les parties du corps. La Surya Mudra contre l’obésité, le cholestérol, etc. La Vayu Mudra pour les douleurs articulaires, les problèmes d’estomac, etc. La Prithvi Mudra pour la paix de l’esprit, l’énergie, etc.
Voici les différents types de mudras
Gyan Mudra
Joindre le bout du pouce avec l’index peut être particulièrement avantageux pour augmenter les capacités de la mémoire et de concentration. Également recommandé pendant la méditation, ce Mudra fournit un effet apaisant pour l’esprit. Ceux qui souffrent de maladies psychiques comme la dépression, l’anxiété, perte de sommeil, stress, etc. peuvent ainsi en être soulagés. Mais encore, si vous avez tendance à vous retrouver dans des circonstances qui engendrent la colère et irritabilité et à perdre votre sang-froid, essayez cette méthode et voyez l a différence.
Dhyana Mudra
Pour cette méthode, vous avez simplement besoin de mettre votre main gauche sur la main droite et de les laisser reposer sur vos genoux. Cet alignement des mains tend aussi à calmer les nerfs tendus. Pratiquez-la régulièrement pour combattre le stress quotidien et pour la méditation.
Varuna Mudra
Le Varuna Mudra est formée lorsque vous touchez la pointe de votre petit doigt avec votre pouce. Comme spécifié précédemment, le petit doigt représente l’eau. Ainsi, le Varuna Mudra est particulièrement bénéfique contre la déshydratation. Peut également être pratiqué pour les problèmes de peau sèche et fonctionne aussi comme purificateur de sang.
Surya Mudra
Ce mudra est pour tous ceux qui sont préoccupés par leur tour de taille en expansion. Cet alignement est particulièrement recommandé pour la lutte contre l’obésité. Pour cet alignement particulier, vous devez simplement fixer la bague au doigt et le bout du pouce et appuyez sur le pouce au-dessus.
Aayu Wise
Appelé aussi à juste titre l’alignement « Pain Killer » de la main. L’index est pressé cotre le bout du pouce. L’air étant la cause de la douleur dans le corps, est supprimée par le feu entraînant sa réduction. Ceci est recommandé pour les patients souffrant de douleurs articulaires.
Prithvi Mudra
Pour ceux qui ressentent le besoin de gagner quelques kilos et d’atteindre la plénitude corporelle, la méthode de ce sage leur est recommandée. Pour cela, tout ce que vous devez faire est toucher le bout de l’annulaire avec le pouce et de garder un contact permanent pendant un certain temps, de manière quotidienne.
Prana Mudra
Ce mudra a été spécialement conçu pour atteindre la puissance immunitaire de manière à rester à l’écart des maladies de l’esprit. En outre, il donne un teint éclatant à la peau comme il présente des propriétés qui purifient le sang. Il est également bénéfique pour les personnes souffrant de maladies oculaires. Pour faire cet alignement de la main, vous devez rejoindre la pointe du pouce avec le petit doigt et l’annulaire. Garder deux autres doigts tendus.
Apana Mudra
Dans cet alignement , vous devez toucher, avec le bout de votre pouce, le bout de chaque doigt du milieu ainsi que celui de l’annulaire. L’index et le petit doigt doivent être tenus droits. Ceux qui souffrent de problèmes fréquents d’aérophagie peuvent s’en trouver soulagés.
Linga Mudra
Pour les maladies respiratoires, cette thérapie vous sera d’une grande aide. Elle est particulièrement recommandée pour les patients asthmatiques et aussi pour ceux qui ont un excès de « Kapha »dans leur système. Tout ce que vous devez faire c’est de serrer les doigts des deux mains et garder un pouce à la verticale.
Hridya Wise
Ce mudra a été particulièrement conçu pour les patients cardiaques. Les patients avec une grande pression artérielle et des palpitations pourront avoir des résultats favorables. L’index doit être maintenu fixe sur le bout du pouce. Ensuite touchez avec le bout du pouce le bout du majeur et de l’annulaire en même temps. Gardez le petit doigt vers le haut.
Shunaya Wise
Le majeur doit être gardé à la base du pouce et le pouce devra exercer une petite pression dessus. Cet alignement est recommandé lorsqu’on a une douleur aux oreilles. Ceux qui souffrent des gencives peuvent également l’essayer.
Source http://www.curejoy.com
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Le OM traditionnellement représente le son primordial produit lors de la création de l’univers. Il contient en substance non seulement tous les autres sons mais aussi toutes les formes d’énergie, qui par ailleurs se matérialiseront ou non.
La pratique du OM se perpétue depuis des millénaires pour nous aider à nous libérer des fluctuations du mental et de nos maux. Malheureusement, cette pratique n’est pas assez développée dans nos pays et ses répercussions sur la santé restent sous-estimées et ceci à cause d’une réticence liée à sa relation avec la religion lndouiste.
En dehors de cette considération, le son est une vibration qui se répand dans l’atmosphère. Il faut bien comprendre que la réception du son par l’oreille n’est qu’une toute petite partie de ce qui est perçu l’ensemble du corps. Même si le OM dans sa totalité va faire vibrer tout le corps, chaque partie du OM sera néanmoins en synchronisation avec les différentes régions de celui-ci. Ainsi, lorsque nous chantons le OM, nous émettons une vibration d’harmonisation qui conduit à une équilibration de tout le corps, des pieds à la tête.
Le OM se divise en trois parties :
Le passage d’une position à une autre se fait progressivement, dans une continuité qui ne doit pas être saccadée même si la durée en est courte.
Lorsque vous chantez le OM, il vous est recommandé de limiter la phase du « A » à une simple esquisse. ll ne faut pas vous y attarder.
Par contre, c’est sur le « O » que vous devrez prolonger le chant et faire vibrer le plus longtemps possible et si vous le souhaitez en portant toute votre attention sur la région cardiaque qui est alors en résonance. Cet effet induit un message en profondeur de toute la région. Or, cette région est la plus tendue en cas d’émotions, de tensions, de nervosité… La pratique du son « O » prolongé permet une détente en douceur de cette partie qui va libérer une sensation de calme et de paix. Parfois, une sensation d’ouverture se produit qui va permettre de faciliter les échanges avec les autres. Les relations avec autrui s’en trouvent facilitées.
Le « M » tout comme le « A » ne doit pas être prolongé. Il ne sert à rien de vouloir prolonger la fin qui doit de toute façon se terminer. Le « M » résonne beaucoup dans la tête. Nous ressentons comme le phénomène d’une transcendance qui fait passer les énergies de la matière la plus dense à la vie la plus subtile. Le ‘M’ n’est pas sans nous rappeler le « humm » que nous prononçons lorsque nous apprécions par le seul aspect extérieur un plat. Le “humm” traduit la transformation du plaisir gustatif physique en un plaisir plus subtil et fin.
En résonnant dans toute la région céphalique, le « M » va apporter un apaisement de toutes les pensées parasites. Elles vont soudain apparaitre comme disciplines et couler en un seul flot.
Le OM entraîne tout comme dans un exercice de pranayama, un allongement du souffle et notamment de l’expiration qui en est la partie tha (yin). Ainsi, il contribue à la détente et la recharge de l’énergie de réserve. Da pratique s’adresse aux personnes épuisées et excitées à la fois (vide de yin et plénitude de yang). Mais, par son action rééquilibrante globale, le OM agit sur toutes les régions du corps en permettant une harmonisation totale. Cet exercice est souvent le seul chez des personnes dispersées, excitées, nerveuses à provoquer un état rapide d’apaisement et préparer à la méditation.
Même, si ses applications sont méconnues du grand public, sa pratique acquiert progressivement ses lettres de noblesse tout comme la relaxation et la respiration qui ont droit de cité dans le traitement des troubles liés au stress et à l’anxiété. En définitive, la pratique du chant OM est l’une des plus simples qui soit. Elle ne requiert aucun matériel ni artifice, elle ne nécessite que notre Présence. Mais elle est l’une des plus efficaces pour nous mener de la souffrance à la santé.
Cours yoga saint maximin la sainte baume
La régularité
« L’être humain peut évoluer rapidement par le biais d’une pratique régulière. Apprenez vos leçons de la nature. Regardez comment les saisons se succèdent régulièrement, comment le soleil se lève et se couche, comment vient la mousson, comment fleurissent les fleurs, comment mûrissent les fruits et les légumes, comment prend place la révolution de la lune et de la terre, comment les jours et les nuits, les semaines, les mois et les années passent ! La Nature est votre Guru et votre guide. Les cinq éléments sont votre précepteur et votre enseignant.
Ayez des habitudes régulières dans tous les secteurs de votre vie. Couchez-vous de manière régulière et levez vous tôt chaque matin. Soyez très réguliers dans votre façon de prendre vos repas, dans vos études, dans vos exercices physiques, dans votre pratique de méditation et vous aurez une vie heureuse et pleine de succès. »
Swami Sivananda Saraswati
https://youtu.be/M3YsEdUItGo
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Cet état de vigilance est la source de progression du discernement, libérateur des confusions. Dans le cadre de notre pratique contemporaine du hatha-yoga, nous pouvons attribuer une double fonction à l’état de vigilance, à la fois sociale et spirituelle. Lorsque l’Union Européenne de Yoga a été constituée, vers 1975, la charte de fondation précisait que la pratique du yoga était une réponse possible à la dispersion mentale accélérée vécue dans nos sociétés modernes. Aujourd’hui, le constat serait encore aggravé. Entre autres, la pression médiatique, l’usage intensif du portable, du zappage, les sollicitations visuelles et auditives incessantes de ceux qui nous abreuvent et nous conditionnent par la publicité, concourent à augmenter notre dispersion mentale. Celle-ci nous rend moins présents au monde, à la vie sociale, plus fragiles nerveusement et plus manipulables psychiquement. Le manque de vigilance organisé est une forme de souffrance (klesha) qui entretient la confusion.
Heureusement, Patanjali nous affirme qu’il est possible d’inverser le processus, de réduire la souffrance à venir (Yoga Sûtras II,16), en cultivant notamment le discernement, la concentration qui redonne plus de présence à la vie, aux autres et qui développe l’écoute et l’ouverture du cœur. De son côté, en écho, le hatha-yoga prône l’évolution spirituelle du pratiquant, en enseignant notamment la concentration et la méditation vigilante dans le cœur (H.Y.P. I,48). Ce cheminement de la connaissance conjugue la grâce et l’action attentive, qui créent des conditions favorables à l’éveil intérieur. La faculté d’être en éveil de conscience s’exerce constamment grâce à l’acuité de la présence dans la vie quotidienne, depuis les perceptions les plus simples, jusqu’à la révélation de la profondeur subtile des choses. Cette capacité d’attention est un enthousiasme vigilant (utsaha) qui dans le hatha-yoga se développe avec des exercices physiques et psychiques, et intègre le corps dans une visée de libération spirituelle. Le corps devient ainsi le moyen concret, efficace, pour réaliser cet état de vigilance, source du discernement, afin de sortir des affres de la dispersion mentale. Pendant toute la séance, la qualité du souffle doit être maintenue comme une mesure constante de la justesse de l’effort du moment. Dans chaque exercice, le pratiquant s’applique à constamment respirer de manière lente, régulière et ample. Si le souffle devient plus court ou saccadé, c’est le signe qu’il y a trop de tensions, l’élève doit réduire l’intensité de l’effort engagé. Cependant, l’essentiel demeure dans les moyens (upâya) mis en œuvre par le pratiquant pour sans cesse relancer la vigilance. De cette façon, la pratique posturale du hatha-yoga fait du corps le lieu d’une alchimie intérieure. Cette transformation passe par le développement, de la vigilance, du discernement, en vue d’accéder à un éveil spirituel.
L’authenticité et l’application de cet éveil se mesurent dans la vie quotidienne.
Boris Tatzky
Revue Française de Yoga – Juillet 2008
L’émission d’un son porté par l’expiration permet d’aller au bout de cette dernière. Cette exploitation maximale de l’expir est particulièrement bénéfique dans la pratique yoguique, où le souffle est essentiel : ainsi, associer posture et chant védique, mantra court ou bija mantra, si la posture elle-même est juste, est très positif.
Dans ses aspects pratiques, le yoga nous offre une série d’instruments permettant de trouver un équilibre dans notre vie physique, psychologique, mentale et de parvenir ainsi à l’Unité intérieure. Comme d’autres « voies spirituelles » où la psalmodie joue un rôle considérable pour éveiller le corps et l’âme à une dimension subtile, le yoga a magnifié l’outil phonique pour en faire une voie à part entière. Krishnamacharaya considérait cette voie du son comme la plus grande discipline (tapas), comme un moyen d’évolution fondamental et très efficace. […]
……..
La pratique élaborée à partir de la vibration sonore peut prendre plusieurs formes:
– la mise en place de sons (voyelles, phonèmes – syllabes simples) pour accompagner l’expiration dans les postures
– l’utilisation de mantra courts (bija man-tra ou mantra védiques) pour soutenir l’expiration dans la pratique posturale
– la récitation d’un texte védique en posture assise.
………..
Elle s’appuie sur certaines particularités du sanscrit:
– la richesse de son alphabet (50 phonèmes),
– une phonétique particulière qui distribue les consonnes d’après leur lieu d’émission dans le corps, partant du plus profond (gutturales) vers le plus extérieur (labiales),
– les correspondances établies par les textes entre les plans microcosmique et macrocosmique: les traditions shivaïte et tantrique considèrent l’univers tout entier comme issu du son primordial, chaque élément de cet univers étant représenté par une lettre ; de même, le corps humain est considéré comme un grand mantra contenant toutes les lettres de l’alphabet sanscrit,
– l’existence d’une énergie particulière inhérente à ces phonèmes, chaque phonème portant en lui une charge qui lui est propre, issue de la fragmentation du son primordial et déterminant des résonances avec certaines parties du corps ou certains plans de l’être.
Les sonorités particulières offertes par le sanscrit, de par la charge énergétique contenue dans les phonèmes et dans les associations de phonèmes, jouent un rôle déterminant dans les effets produits même si d’autres langues peuvent engendrer certains effets similaires (tous les sons utilisés dans ces pratiques ne sont pas exclusifs du sanscrit). […]
Rassurons les personnes inhibées par l’émission vocale : il ne s’agit pas d’une technique vocalement complexe, les mantra se chantent ou plutôt se psalmodient sur trois notes. La préparation posturale et respiratoire qui précède les exercices contribue à poser la voix: chanter faux n’a donc plus aucune raison d’être. Au contraire, bien des élèves dépassent leur appréhension et découvre le plaisir – voire même la joie – d’émettre ces sons.
Ces sons sont émis vocalement. Pour des personnes plus avancées, on prescrira quelquefois de les prononcer mentalement. Cette façon de faire permet alors de se concentrer sur un son ou sur un mantra aussi bien à l’expiration qu’à l’inspiration. L’effet sur la concentration est particulièrement intense. […]
L’expérience montre que l’emploi d’un son porté par l’expiration permet généralement d’allonger celle-ci, avec toutes les conséquences qui en découlent: effet sur la détente, le recentrage, l’intériorisation, la concentration. On remarque ainsi que les postures exécutées sur l’expiration, du fait de l’allongement du souffle et de la concentration qui accompagnent l’émission du son, ont tendance à être pratiquées plus à fond dans le sens où les résistances habituelles peuvent se résoudre plus aisément.
Dans certains mantra (notamment dans le chant védique), où chaque phrase se prononce sur un souffle, ces phrases s’enchaînent en s’allongeant progressivement : on retrouve ici la construction typique d’un prânâyâma, à visée éducative pour le souffle et déterminant tous les effets propres à l’allongement de l’expiration avec, en plus, les effets particuliers de la vibration sonore.
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Sous réserve d’appliquer une attitude juste.
L’émission d’un son, pour être correcte et efficace, nécessite une attitude corporelle précise: une bonne conscience de l’ancrage et de la verticalité du dos, une maîtrise du diaphragme, une excellente sangle abdominale et une bonne capacité à détendre le thorax, la gorge, le visage… Des exercices préliminaires au chant sont donc recommandés pour obtenir cette maîtrise. Réciproquement, la maîtrise de l’émission vocale permet de développer la conscience de l’ancrage, la qualité du dos, de la sangle abdominale et du souffle. A l’instar de la posture qui se construit sur la double règle de sthirasukha, le son se construit sur un ancrage, une solidité du dos et de l’abdomen, et sur une bonne qualité de détente. Cette notion est fondamentale, tout particulièrement dans la pratique en assise. […]
……….
Des sons à manier avec précaution.
La manipulation de ces sons devra se faire avec beaucoup de précautions car la vibration sonore démultiplie généralement les effets d’une posture ou d’une respiration.
Un son dynamisant comme HRAIM associé à une posture d’ouverture peut rééquilibrer une personne sans énergie, mais peut aussi modifier un état d’être dans le sens d’un excès de rajas.
De plus, la façon de régler l’émission de ces sons/vibrations – les prononcer plus ou moins fort, plus au moins haut, plus ou moins vite – détermine des effets plus ou moins apaisants ou dynamisants. Il s’agit donc là d’un savoir faire assez subtil qui nécessite d’être guidé. Ces dernières remarques sont valables également pour le chant védique.Elisabeth Libraire