Category Archives: Textes inspirants
Om Namah Shivaya
( prononcé comme Aum Num-ha-Shi pourquoi)
Om Namah Shivaya est connu comme le grand mantra rédemptrice aussi connu comme cinq syllabes mantra
La signification :
Il signifie «Je me prosterne devant Shiva. » Shiva est la réalité suprême, le Soi intérieur. Il est le nom donné à la conscience qui habite en tous.Shiva est le nom de votre véritable identitaire votre auto.
Selon la mythologie hindoue, il ya trois dieux qui dirigent cette création. Le Brahma – qui crée l’univers, le Vishnu – qui préserve l’Univers et de la Shiva- qui détruit à la fin de l’univers. Parmi les trois divinités, Shiva, bien que considéré comme destroyer, symbolisent aussi le – le moi intérieur qui reste intacte même après tout se termine.
Dans ce mantra le chalumeau (celui qui répète le mantra) incliner devant Shiva- son vrai soi.
Om Namah Shivay est un mantra très puissant. Il a été dit à propos de ce mantra que si ce mantra vibre continuellement dans votre coeur, alors vous avez pas besoin pour effectuer austérités, à méditer, ou de pratiquer le yoga. Pour répéter ce mantra vous avez besoin pas de rituels ou de cérémonies, ni devez vous répéter à un moment propice ou dans un endroit particulier. « Ce mantra est libre de toutes restrictions. Il peut être répété par toute personne, jeune ou vieux, riche ou pauvre et Peu importe l’état d’une personne est en, il sera le purifier.
Comment répéter «Om Namah Shivay ‘
Asseyez-vous dans un endroit et la position confortable et paisible. Commencer à répéter le mantra dans votre esprit ou bruyamment avec la même vitesse que vous parlez:
Om Namah Shivay (Aum Num-ha-Shi pourquoi)
Répétez ‘Om Namah Shivay’, avec le sentiment que vous êtes saluant Shiva – votre véritable moi intérieur. Répétez ce mantra avec respect. Le moi intérieur est la forme de Dieu en vous. Donc, comme vous le dites à savoir «Om Namah Shivay » Je me prosterne devant Shiva »;.. Vous êtes réellement Cédant à Dieu – le tout-puissant grand La répétition du nom de Dieu équivaut à être fusionnées dans son être même Lorsque vous répétez le nom de Dieu dans votre bouche, dans un sens, vous rencontrez le Dieu lui-même. Il suffit de répéter ce mantra avec foi et il est puissant vibrations phonétiques seront commencer à faire miracle pour vous.
Dharana (Concentration)
YOGA ST MAXIMIN LA SAINTE BAUME
CONCENTRATION SUR plexus solaire
Plexus solaire est souvent appelé le cerveau abdominale. Il est un centre important des nerfs, connecté avec le système nerveux sympathique. Il est situé dans la région épigastrique, derrière le creux de l’estomac de chaque côté de la colonne vertébrale. Il a le contrôle sur les principaux organes internes de l’homme. Il joue un rôle beaucoup plus important que ce qui est généralement reconnu. Il prend une part importante dans le contrôle des émotions et des différentes fonctions corporelles. Il est composé de blanc et gris matière cérébrale. Il est l’une des parties les plus vitales de l’organisme. Un coup sur le plexus solaire est bien connu des hommes à la boxe comme un moyen facile de rendre un adversaire inconscient ou à tout impuissants de taux. Il est le magasin-maison de Prana. Il est la maison de puissance. Il est le plus important de tous les supports (Adharas) du corps, qui sont au nombre de seize. Il est un fait connu que les hommes ont été instantanément tué par un coup sévère sur le plexus solaire. Le plexus solaire est littéralement le soleil du système nerveux. Lorsque le soleil brille harmonieusement, l’ensemble du système physique est harmonieux. Elle irradie force et d’énergie à toutes les parties du corps. Pensées et Prana, lorsqu’elle est dirigée vers ce centre par pranayama, vont stimuler et éveiller le soleil y latente.
Tenez-vous droit dans Padmasana ou Siddhasana. Ferme tes yeux. Dessinez l’air lentement par la narine gauche aussi longtemps que vous pouvez faire avec confort. Gardez la droite fermée avec le pouce droit. Répétez Om mentalement. Puis retenir le souffle. Ont l’attention bien dirigée vers le plexus solaire. Concentrez votre esprit là. Avoir la pensée centrée sur elle. Ne faites pas de pression excessive de l’esprit ou effort excessif d’aucune sorte. Direct consciemment le Prana dans la région du plexus solaire par le souffle retenu. Imaginez: « Je respire dans Prana, le bonheur, la joie, la force, la vigueur, l’amour. » Puis expirez lentement par la narine droite. Puis inspirez par la narine droite, le conserver comme avant et expirez par la gauche. Répétez le processus 12 fois dans la matinée. La peur, la dépression, la faiblesse et autres émotions indésirables, qui se dressent sur le chemin de l’avancement spirituel, vont disparaître. Vous allez devenir de plus en plus confiants de la réussite dans la réalisation du Soi.
http://www.sivanandaonline.org
Pourquoi j’ai commencé à pratiquer le Yoga et le pratique encore
cours yoga saint maximin la sainte baume
Juliane Reinartz
J’avais fréquemment pensé à suivre un cours de Yoga. Mais comme souvent, je trouvais toujours quelque chose d’autre qui m’empêchait de le faire, jusqu’à ce que mon médecin de famille me diagnostique de l’hypertension artérielle lors d’un contrôle médical de routine. Cette tension artérielle devait être traitée avec des comprimés pharmaceutiques.
Ayant des antécédents familiaux, je dus bien me faire à l’idée de souffrir d’hypertension, mais néanmoins je trouvais que cela m’arrivait bien tôt – n’ayant pas trente-cinq ans. Le médecin de famille me dit que je devrais prendre ces médicaments tout le reste de ma vie. Ne me résignant pas à ce diagnostic, je demandai au docteur ce que je pouvais faire d’autre (en dehors de toute médecine) pour limiter la dose médicamenteuse au minimum aussi longtemps que possible. Il me recommanda des sports d’endurance, mais il me parla aussi du Yoga afin de devenir plus calme. Ainsi je me suis inscrite pour mon premier cours de Yoga.
Au début, même rester allongée calmement était très difficile pour moi. Se concentrer sur un seul point, en ne donnant aucune importance à mes pensées, me semblait presque impossible. Lentement, j’ai réussi à me concentrer pendant de courtes périodes. Après le premier cours, ma tension artérielle n’avait pas changé. Mais, puisque je voulais au moins réduire mes prises de médicaments, j’ai continué.
En fait, je ne réalisais aucun des changements me concernant depuis que j’avais commencé les leçons de yoga car je donnais trop d’importance à ma tension artérielle. En pratiquant la concentration, j’ai appris à ne pas répondre de manière fébrile et agitée aux tâches en attente. J’ai appris à faire face à tout ce qui m’attend de manière plus efficace et efficiente en adoptant une respiration profonde et en pratiquant de courtes contemplations. Le non-attachement est toujours très difficile pour moi aussi, mais avec l’aide du yoga et de la concentration je suis progressivement parvenue à me détacher de toutes ces petites choses que je porte inutilement ; et je trouve la paix intérieure. Même ma conception de la vie a changé de façon positive. Autrefois tout devait être structuré avec précision à l’avance ; je sais maintenant prendre les choses comme elles viennent sans être perturbée. Quand quelque chose ne correspond pas à mes idées, je découvre qu’il y a d’autres voies. Ces voies peuvent ne pas mener exactement au même but, mais le nouveau but peut aussi s’avérer être meilleur ou plus adapté que l’ancien. Aujourd’hui je fais face à la vie avec l’esprit plus ouvert. Je suppose que l’abaissement de ma tension artérielle a été provoqué grâce à ces seuls changements.
Après un certain temps, j’ai pu réduire la dose de médicaments. J’ai noté aussi que le yoga m’a non seulement servie à devenir plus calme, mais a également provoqué certaines modifications physiques. Je dors très bien, ma digestion est devenue normale et pendant mes périodes menstruelles je n’ai pratiquement plus de problèmes.
J’ai essayé de pratiquer le yoga à la maison ; cependant je n’arrivais pas à me concentrer de la même manière. Par conséquent j’ai continué mes cours de Yoga. Les instructions de mon professeur sont très utiles pour améliorer mes postures et mes attitudes. Je sais notamment que je dois lutter contre ma tendance à éviter l’effort quand cela devient difficile ou que cela fait mal. Pratiquer au sein d’un groupe de personnes d’intérêts proches apporte aussi un très grand soutien.
Avec le temps, j’ai même pu arrêter mes pilules pour l’hypertension. Je dois toujours surveiller ma tension artérielle, mais je l’ai vaincue grâce au yoga ! Même mon médecin de famille est convaincu que le yoga y est pour beaucoup.
Puisque le yoga a des effets très positifs sur moi, je continuerai à le pratiquer !
http://www.yogakshemam.net/
LA PLACE DU HATHA YOGA AU SEIN DES DIFFERENTS YOGA
Le yoga est à la fois unique et multiple. Unique car il utilise toujours le corps comme instrument. Multiple car ses voies d’expression sont adaptables à la diversité des êtres humains. Il y a donc différents yoga : hatha, râja, karma, jñâna, bhakti, tantra, mantra, nidra etc , qui sont intégrés dans leyoga.
Le yoga le plus connu et le plus pratiqué en occident est le hatha yoga.
Le premier verset de la hathapradîpikâ le qualifie de « science glorieuse qui resplendit comme une échelle pour qui désire atteindre les cimes du râja yoga. »
Le râja yoga – qui est la perfection en yoga – est présenté comme le fruit obtenu au moyen du hatha yoga. Ce dernier étant la méthode la plus efficace pour atteindre l’état de libération.
« La multiplicité d’opinions divergentes proposant différentes voies d’approche du râja yoga ne fait que plonger les aspirants dans la confusion et l’obscurité. A cette obscurité, seul le hatha yoga peut les arracher, étant le seul moyen efficace d’obtenir la maîtrise en râja yoga. » ( hatha yoga prâdipika, p.83, extrait du commentaire de Brahmânanda, traduit par Tara Michael, Édition Fayard)
Le hatha est un yoga complet, une démarche de vérité par rapport à soi : accepter de se voir tel que l’on est, agir en se donnant les moyens de vivre en harmonie avec le monde, sans se couper de ses racines et en respectant ses aspirations spirituelles profondes.
La spiritualité est universelle, l’homme se posera toujours les mêmes questions sur son être individuel, son implication sociale, le sens de sa vie.
Le hatha yoga donne des moyens de résoudre ces questions. Athées ou croyants trouveront des réponses. « Le hatha yoga concerne tout autant ceux qui sont encore en proie à la souffrance que ceux qui sont déjà engagés dans une voie de yoga. Négativement il a la caractéristique de détruire toute douleur, et positivement, celle de permettre le succès dans n’importe quelle branche du yoga. »
(cit. idem Tara Michael)
« Il n’y a rien de tel que le yoga pour l’apaisement de l’esprit et la libération [de l’enchaînement] des actes. »
(cit. idem Tara Michael).
POUR QUI ?
L’enseignement est conçu pour s’adapter et répondre aux besoins spécifiques de chacun, quel que soit son âge, son mode de vie, la saison, ses capacités et son état de santé.
La pratique du yoga permet de répondre aux besoins de l’homme moderne : être maître de ses sens et de ses émotions, gérer son stress, prendre du recul par rapport à ses soucis, améliorer sa concentration, accroître son dynamisme, sa joie de vivre.
Maintenir une hygiène de vie, une alimentation équilibrée qui corresponde à son âge, à son corps, vivre à son rythme grâce au yoga.
La pratique du hatha yoga est recommandée aux femmes enceintes pour leur permettre de vivre une grossesse épanouie, d’être bien préparée à l’accouchement, d’absorber la fatigue durant la période du retour de couches tout en améliorant aussi la sécrétion et la qualité de la lactation pour nourrir le nouveau-né.
Lehatha yoga est enseigné aux enfants, dans certaines écoles. C’est pour eux l’occasion de découvrir une activité sans compétition.
LES COMPOSANTES DE LA PRATIQUE
âsana
« Âsana, (la posture assise) forme le premier élément du hatha yoga. Elle a pour résultat la fermeté de la posture, la disparition de toute maladie et la légèreté physique. » hathapradîpikâ,, I, 17a
Il existe une multitude de postures selon la tradition indienne. Certaines sont décrites dans les traités de hatha yoga ;
Gheranda Samhitâ, II, 1: « 84 centaines de mille » (lakhs);
Goraksha Shatakam, 6: « D’entre leurs 84 centaines de milliers… »;
Shiva Samhitâ, III, 84: « Quatre vingt quatre postures différentes.
Ces chiffres symboliques signifient une multitude et désignent aussi des mises en forme d’états de conscience, c’est là leur clé.
Elles portent un nom symbolique (tortue, sauterelle, cobra, arc, paon et…). Elles sont efficaces pour équilibrer l’ensemble des membres et des fonctions organiques, et, pour maîtriser l’agitation mentale, l’inertie, la paresse. La plus connue étant la pose dite du Lotus ou padmâsana, l’assise jambes croisées.
Âsana libère la respiration qui l’anime et prépare àprânâyâma.
prânâyâma
La respiration est la clé de voûte du hatha yoga.
Diriger l’attention sur la respiration a pour effet de ralentir naturellement son rythme. L’agitation ou la confusion du mental (les pensées qui se succèdent à une cadence effrénée) cesse pour faire place à un état de sérénité. Quand le mental et la respiration sont en union, les mouvements du souffle sont maîtrisés, contrôlés.
Il existe plusieurs sortes de prânâyâma. nadi shodhana, sûrya bhedana, ujjayi, sitali, bhastrika…Ceux-ci sont décrits dans les textes tels que hatha yoga pradîpika, Gheranda samhitâ, Goraksha satakam …
« Le prânâyâma est la principale de toutes les méthodes de yoga. S’il est parfaitement accompli, la perfection (en pratyâhâra, c’est-à-dire le retrait des sens de leurs objets correspondants ) découle d’elle-même. Le développement du prânâyâma confère tous les autres anga (stades ou états de conscience) duyoga (dhârana ou concentration,dhyâna ou contemplation,samâdhi ou parfaite union). »
mudrâ
Celui qui est parvenu à maîtriser le mouvement respiratoire a du même coup la capacité d’arrêter les modifications et les mouvements de l’esprit. Pour entretenir cette maîtrise, le yogin doit s’entraîner également à pratiquer les mudrâ du hatha yoga, des positions spécifiques qui « scellent » le souffle à l’intérieur du corps, imposent une limite à la dispersion de perception et mettent fin aux afflictions physiques, mentales et spirituelles. « Cesmudrâ confèrent aux yogin la réalisation » (Gheranda samhitâ III,3) mahâ mudrâ, mahâbandha, mahâvedha, viparîta karanî, associées à des bandha, ou ligatures, vajrolî, khecarî, tâdâgî, bhujanginî etc… sont énoncées dans les traités. Quant à la manière de les pratiquer elle est particulière à chaque Ecole car ces mudrâ sont enseignées traditionnellement de maître à élève dès que l’enseignant juge l’élève apte à en apprécier la valeur.
La pratique desâsana, prânâyâma etmûdra duhatha yoga n’est pas anodine et ne peut être apprise par les livres. Il faut être guidé par un enseignant pratiquant expérimenté qui en connaisse parfaitement tous les effets et contre-indications.
LES EFFETS DE LA PRATIQUE
Si certains courants considèrent que la relaxation est un des piliers majeurs du Yoga ( yoga nidra…) elle n’est cependant pas à considérer comme un moyen technique proprement dit de la tradition indienne. Elle devrait plutôt être considérée comme un effet résultant de la pratique lorsque celle-ci est correctement accomplie. La relaxation est une technique qui a été créée en occident pour remédier au stress de la civilisation de consommation. La tradition indienne du yoga accorde une place importante au repos et à la détente corporelle et mentale. La position de repos « shavâsana » est décrite précisément dans le traité hathapradîpika I,32 : elle dissipe la fatigue et apporte à l’esprit la tranquillité. Elle permet aussi d’absorber les tensions provoquées par la pratique des âsana, et de ce fait, la pensée est également mise au repos. Une telle stabilisation du corps et de la pensée augmente la présence à soi-même, la vigilance, améliore l’attention, la disponibilité et la compassion envers soi et ses semblables.
LES TEXTES FONDATEURS
La pratique du hatha yoga s’appuie sur une expérience millénaire mais elle se révèle très actuelle et concerne l’Homme contemporain.
Le traité ancien le plus complet sur le yoga et les états mentaux est le « yogasûtra » de Patañjali. Il a été commenté par de nombreux érudits indiens comme Vyâsa, Bhoja, Vacaspati Misra….
Le hatha yoga est transmis dans les traités tels que hatha yoga pradîpikâ, Gheranda samhitâ, Siva samhtâ, Goraksa sataka, Siddha siddhanta paddhati, Goraksha paddhati…
LaBhagavad gîtâ, lesUpanishad, lesSamkhya karikâ, leRamayana permettent quant à eux d’aborder l’aspect philosophique duyoga.http://www.fidhy.fr/
https://yoga-sainte-baume.fr/534
Les Yamas sont les règles morales en société ou les observances par rapport aux autres, qui permettent au yogi d’être en harmonie avec ses semblables et la société; les Niyamas sont les observances qu’il pratique pour lui-même, ses disciplines personnelles, pour progresser sur le chemin du yoga.

Loin de moi l’idée de de vous répéter les définitions qui pullulent sur le web. J’aimerais vous rendre ces deux mots amis. Je souhaiterais que Yamas et Niyamas ne soient pas à vos yeux des règles de conduite privatives, réductrices, mais des tremplins vers la liberté, des outils quotidiens qui vous aident à tracer vous-même votre propre route.
Yama, Niyama, une introduction
Les Yamas et les Niyamas se situent dans le cadre des Yoga Sutras, texte de base du yoga classique. Yamas et Niyamas constituent même les deux premières étapes de l’Ashtanga Yoga, le chemin des huit étapes vers la réalisation du Soi. Ils ont déjà été mentionnés dans un article général sur les Yoga Sutra de Patanjali.
Écrire sur les Yamas et les Niyamas, c’est un peu remettre en perspective sa pratique du yoga:
Qu’est-ce que le yoga fondamentalement pour moi? Un suite de postures et de respirations, ou plus encore?
Quand commence et quand se termine ma pratique du yoga?
Qu’est-ce que j’en attends?
Le but du Yoga
Une démarche complète en Yoga – qui ne se limite pas aux exercices physiques – vise un changement radical de soi.
Le but suprême du Raja Yoga, la Voie Royale, c’est de changer d’état. Le Raja Yoga s’appelle la Voie Royale du Yoga parce qu’il vise l’étude puis la maîtrise du mental. D’un état «habituel», dispersé, soumis aux dictats du mental (souffrance, émotions, désirs), le yogi cherche à atteindre un état inconnu:
d’union,
de non besoin/de non-désir parce qu’il est déjà plein en soi,
un état de non séparation, au-delà du mental, donc inexprimable par des mots et des pensées.
Cet état semble peut-être lointain. C’est celui des sages, de certains yogis ermites que vous avez peut-être vus en vrai ou à la télévision. Peut-être même ne vous intéresse-t-il pas.
Mais en deçà de cet objectif ultime, que vous apporte votre pratique du yoga, comment vous sentez-vous après un cours qui vous a fait vraiment du bien?
Un mieux être, à la fois sur le plan physique et mental; vous êtes comme « unifié » ;
Une réconciliation avec vous-même, vous vous sentez bien en vous, pas de frénésie gourmande, pas d’émotion perturbante (telle que tristesse, jalousie, colère, …) ni de pulsion d’achat pour compenser un je ne sais quoi qui vous manque,
Et pendant la relaxation, vous aviez expérimenté un état tout particulier, intemporel, oubli du corps, légèreté, …; impossible d’exprimer avec des mots ce bien-être…
Et maintenant comparez la liste ci-dessus des bienfaits d’une bonne séance de yoga avec la liste un peu plus haut qui décrit l’objectif suprême du yoga. Elles se ressemblent, n’est-ce pas?…
Le yoga vise la maîtrise du mental.
La maîtrise du mental, pourquoi?
Maîtriser le mental, pour qui, pour quoi? me direz-vous… Celui qui n’a jamais tenté de méditer peut difficilement se rendre compte. Un premier article sur l’expérience de la méditation peut compléter ce qui est expliqué ici.
Le yoga part du principe que le bonheur, l’état de yoga, s’atteint par la maitrise du mental, le calme complet du mental. En fait,votre cours a eu pour seul objectif de calmer votre corps, vos nerfs, votre mental et son « petit moulin intérieur à penser », pour vous permettre de goûter l’état de repos du mental, à son silence...
Notre état intérieur « habituel », est un état dispersé, soumis aux dictats du mental. Ce dernier vous trimbale dans l’expérience de la pensée, du soucis, de la souffrance, des manques, des émotions parfois positives, parfois négatives et des désirs sans cesse renouvelés.
Là, maintenant, pendant la lecture de cet article, arrêtez-vous quelques instants… fermez les yeux et pensez intensément à un moment heureux que vous avez vécu dans votre vie, ou plus exactement pensez à une image de ce moment qui reste tout particulièrement gravée en vous. Pensez-y complètement, imprégnez-vous en comme si vous y étiez pendant 1 seule minute. Maintenez votre image du bonheur dans votre esprit pendant une minute complète, sans laisser émerger de pensée parasite …
…
Qu’est que cela a donné? Avez-vous réussi à garder toute votre attention sur cette image à l’exception de toute autre image ou pensée?
En général, la réponse est non. Ne fût-ce qu’une seconde, votre mental a été attiré par un bruit extérieur ou une autre pensée…
Pour maîtriser le mental, le yoga propose de le concentrer.
Avez-vous remarqué comme quelqu’un de passionné par ce qu’il fait, de parfaitement concentré est dans son petit monde et semble au-delà de tout soucis?
Un musicien qui répète un morceau; un artiste qui se concentre sur son œuvre, pinceau en main; un passionné de modèles réduits qui colle une pièce d’un millimètre sur sa maquette quasi terminée…
Pratiquer des exercices dans un état concentré et heureux, que ce soit de l’art, du sport ou du yoga, cela relie à notre « Êtreté ». Dans ces moment, le mental cède sa place, l’Être profond (le Soi) et son intuition prennent le relai, dans plus de vastitude; au-delà des paires d’opposés; des jugements; des attractions et des répulsions…
Mais la concentration n’est pas la qualité innée du mental…
la détente psychique de quelqu’un de très mental, non plus.
Et ce que vise in fine le yoga ne s’acquiert par des lectures ni pas la participation à des conférences. Non: c’est un exercice sans cesse répété pour progresser. C’est une expérience vécue de l’intérieur, une expérience individuelle unique qui ne s’approfondit que par une pratique régulière et la guidance d’enseignants qualifiés.
Les Yoga Sutra disent que le bonheur réside dans l’absence de parasites dans le mental, dans son dépassement:
Yoga Citta Vritti Nirodah
Le Yoga, c’est l’arrêt des vagues du mental (Yoga Sutra, I.2).
Comment y parvenir?
Par la discipline du Yoga.
Les Asanas (postures), le Pranayama (respiration), Dhyana (la méditation) sont efficaces, mais insuffisants.
Avant de les aborder, Patanjali préconise de mettre en pratique les 5 observances sociales, les Yamas et les 5 règles personnelles, les Niyamas.
Les 5 Yama – Les observances morales envers les autres – sont :
Ahimsa – non-violence
Satya – dire la vérité
Asteya – honnêteté
Brahmacharya – contrôle des sens et de la sensualité
Aparigraha – non possessivité par rapport aux biens matériels
Les 5 Niyama – Observances ou règles de vie par rapport à soi-même – sont :
Shaucha – pureté
Santosha – contentement
Tapas – austérités, pratique du Yoga
Svadhyaya – étude du Soi (sa véritable nature) et des écritures sacrées
Ishwarapranidhana – abandon à ce qui est supérieur
Dans de prochains articles, j’envisage d’aborder chacun d’entre eux, afin qu’ils vous deviennent familiers – dans la vie quotidienne, dans la pratique du yoga et dans votre recherche sur le sens de la vie.
Peut-être alors souhaiterez-vous les adopter et deviendront-ils des ailes vers la liberté…
Le souvenir de l’effort est toujours un souvenir heureux et l’on sourit aux anciennes misères vaincues.
Jean Guéhennohttp://www.yogamrita.com/
HO’OPONOPONO énergie de guérison + exercice pratique
https://youtu.be/Vo0kRY7beA0
le Karma YOGA
Le terme “Karma” signifie “faire, agir”. Toute action mentale ou physique est appelée Karma. Karma est également le terme qui désigne la conséquence d’un acte, ainsi, il fait référence à la loi universelle de cause à effet.
Tout ce que nous faisons, disons ou pensons, engendre un effet, qui en temps voulu reviendra vers nous conformément à cette loi des conséquences. Ce que nous appelons “chance” est le résultat de nos bonnes actions passées, et ce que nous quali-fions de “malchance” est la répercussion de nos actions négatives passées.
Ainsi, les événements qui se produiront dans notre futur n’arriveront pas par coïncidence mais seront les effets de nos actions passées et présentes. Notre destinée est donc le fruit de notre Karma, tout comme le trajet d’une flèche tirée par un arc est fixe et prévisible à moins que son cours ne soit modifié ou corrigé par un autre événe-ment. Dans la pratique de “Yoga in Daily Life”, avec la pensée positive, la sagesse et le service désintéressé, nous pouvons diminuer et atténuer les répercussions de notre Karma et orienter progressivement notre destinée vers le positif.
Notre situation présente est le résultat de nos actions passées et nos actions présentes détermineront notre futur. Une fois que nous comprenons cela, nous ne pouvons plus blâmer qui que ce soit pour ce qui nous arrive, mais plutôt accepter nos propres responsabilités.
Il y a deux types de Karma:
- Sakama Karma – actions intéressées
- Nishkama Karma – actions désintéressées

Les pensées et les actions égoïstes renforcent la dualité entre “le mien” et “le tien”, alors que les actions désintéressées nous conduisent au-dessus et au-delà des limites de notre petit ego, à l’unité avec tous les êtres. Sakama Karma nous enchaîne à Chorasi ka Chakra (la Roue de la Mort et de la Renaissance). Nishkama Karma nous en libère.
En Inde, la pluie, l’arbre, la rivière et le Saint sont tous considérés comme des symboles de désintéressement. La pluie tombe pour le bénéfice de tous – les humains, la nature et les animaux, de manière égale. L’arbre offre son ombre à tout ceux qui la recherchent et donne ses fruits même à ceux qui lui jettent des pierres pour les faire tomber. La rivière est également pour tout le monde. Le cerf étanche sa soif dans la même rivière que le tigre, et le Saint donne sa bénédiction à tous sans distinction.
Nishkama Karma est le chemin pour éviter de créer de nouveaux Karmas et peut même dissoudre des Karmas passés. Offrir compréhension, pardon et soutien sont des actions désintéressées qui nous libèrent du cycle du Karma.

Thérapie Mudra
Notre état de santé est entre nos mains! Elles sont plus précisément dotées de différents pouvoirs sur notre bien-être. Les quatre doigts et le pouce représentent les cinq principaux blocs de construction ou la «Panchamahabhootas » dont l’univers tout entier est fait. Les sciences naturelles nous disent que la maladie est une limitation, une restriction qui émerge dans la continuité et l’équilibre de ces cinq éléments.
La philosophie de la thérapie Mudra
La thérapie Mudra estime que les cinq doigts correspondent aux cinq éléments de base. A savoir, Ether, Air, Feu, Eau et Terre.
• Le pouce – Le Feu (Agni)
• L’index – L’Air (Vayu)
• Le majeur- L’éther (Aakash)
• L’Annulaire – La terre (Prithvi)
• L’auriculaire- L’eau (Jala)
Afin d’équilibrer les cinq éléments, il existe quelques méthodes spécifiques en rapport avec le toucher et à l’alignement des doigts. Ces méthodes sont appelées « As-mudras « .C’est une thérapie qui est facile et réalisable. Elle peut être pratiquée à tout moment, comme palliatif à la maladie et comme un outil pratique pour la restauration de votre bien-être.
Comment utiliser la thérapie Mudra de l’alignement de la main pour une santé purifiée :
Utilisez Akash Mudra pour les problèmes d’oreilles. La Dhyan Mudra pour la concentration du pouvoir, la dépression et pour tous les problèmes de l’esprit qui en découlent. La Hridya Mudra pour les maladies du cœur, l’asthme et les maladies de respiration. La Jala Mudra pour la purification du sang et toutes les maladies de la peau. La Prana Mudra pour les problèmes oculaires, les problèmes nerveux et recharger toutes les parties du corps. La Surya Mudra contre l’obésité, le cholestérol, etc. La Vayu Mudra pour les douleurs articulaires, les problèmes d’estomac, etc. La Prithvi Mudra pour la paix de l’esprit, l’énergie, etc.
Voici les différents types de mudras
Gyan Mudra
Joindre le bout du pouce avec l’index peut être particulièrement avantageux pour augmenter les capacités de la mémoire et de concentration. Également recommandé pendant la méditation, ce Mudra fournit un effet apaisant pour l’esprit. Ceux qui souffrent de maladies psychiques comme la dépression, l’anxiété, perte de sommeil, stress, etc. peuvent ainsi en être soulagés. Mais encore, si vous avez tendance à vous retrouver dans des circonstances qui engendrent la colère et irritabilité et à perdre votre sang-froid, essayez cette méthode et voyez l a différence.
Dhyana Mudra
Pour cette méthode, vous avez simplement besoin de mettre votre main gauche sur la main droite et de les laisser reposer sur vos genoux. Cet alignement des mains tend aussi à calmer les nerfs tendus. Pratiquez-la régulièrement pour combattre le stress quotidien et pour la méditation.
Varuna Mudra
Le Varuna Mudra est formée lorsque vous touchez la pointe de votre petit doigt avec votre pouce. Comme spécifié précédemment, le petit doigt représente l’eau. Ainsi, le Varuna Mudra est particulièrement bénéfique contre la déshydratation. Peut également être pratiqué pour les problèmes de peau sèche et fonctionne aussi comme purificateur de sang.
Surya Mudra
Ce mudra est pour tous ceux qui sont préoccupés par leur tour de taille en expansion. Cet alignement est particulièrement recommandé pour la lutte contre l’obésité. Pour cet alignement particulier, vous devez simplement fixer la bague au doigt et le bout du pouce et appuyez sur le pouce au-dessus.
Aayu Wise
Appelé aussi à juste titre l’alignement « Pain Killer » de la main. L’index est pressé cotre le bout du pouce. L’air étant la cause de la douleur dans le corps, est supprimée par le feu entraînant sa réduction. Ceci est recommandé pour les patients souffrant de douleurs articulaires.
Prithvi Mudra
Pour ceux qui ressentent le besoin de gagner quelques kilos et d’atteindre la plénitude corporelle, la méthode de ce sage leur est recommandée. Pour cela, tout ce que vous devez faire est toucher le bout de l’annulaire avec le pouce et de garder un contact permanent pendant un certain temps, de manière quotidienne.
Prana Mudra
Ce mudra a été spécialement conçu pour atteindre la puissance immunitaire de manière à rester à l’écart des maladies de l’esprit. En outre, il donne un teint éclatant à la peau comme il présente des propriétés qui purifient le sang. Il est également bénéfique pour les personnes souffrant de maladies oculaires. Pour faire cet alignement de la main, vous devez rejoindre la pointe du pouce avec le petit doigt et l’annulaire. Garder deux autres doigts tendus.
Apana Mudra
Dans cet alignement , vous devez toucher, avec le bout de votre pouce, le bout de chaque doigt du milieu ainsi que celui de l’annulaire. L’index et le petit doigt doivent être tenus droits. Ceux qui souffrent de problèmes fréquents d’aérophagie peuvent s’en trouver soulagés.
Linga Mudra
Pour les maladies respiratoires, cette thérapie vous sera d’une grande aide. Elle est particulièrement recommandée pour les patients asthmatiques et aussi pour ceux qui ont un excès de « Kapha »dans leur système. Tout ce que vous devez faire c’est de serrer les doigts des deux mains et garder un pouce à la verticale.
Hridya Wise
Ce mudra a été particulièrement conçu pour les patients cardiaques. Les patients avec une grande pression artérielle et des palpitations pourront avoir des résultats favorables. L’index doit être maintenu fixe sur le bout du pouce. Ensuite touchez avec le bout du pouce le bout du majeur et de l’annulaire en même temps. Gardez le petit doigt vers le haut.
Shunaya Wise
Le majeur doit être gardé à la base du pouce et le pouce devra exercer une petite pression dessus. Cet alignement est recommandé lorsqu’on a une douleur aux oreilles. Ceux qui souffrent des gencives peuvent également l’essayer.
Source http://www.curejoy.com
Le chant du OM et la santé
Cours Yoga Saint Maximin la Sainte Baume
Une pratique millénaire
Le OM traditionnellement représente le son primordial produit lors de la création de l’univers. Il contient en substance non seulement tous les autres sons mais aussi toutes les formes d’énergie, qui par ailleurs se matérialiseront ou non.
La pratique du OM se perpétue depuis des millénaires pour nous aider à nous libérer des fluctuations du mental et de nos maux. Malheureusement, cette pratique n’est pas assez développée dans nos pays et ses répercussions sur la santé restent sous-estimées et ceci à cause d’une réticence liée à sa relation avec la religion lndouiste.
En dehors de cette considération, le son est une vibration qui se répand dans l’atmosphère. Il faut bien comprendre que la réception du son par l’oreille n’est qu’une toute petite partie de ce qui est perçu l’ensemble du corps. Même si le OM dans sa totalité va faire vibrer tout le corps, chaque partie du OM sera néanmoins en synchronisation avec les différentes régions de celui-ci. Ainsi, lorsque nous chantons le OM, nous émettons une vibration d’harmonisation qui conduit à une équilibration de tout le corps, des pieds à la tête.
Les trois parties du OM (A O M)
Le OM se divise en trois parties :
- Le « A » représente le commencement. Il doit être prononcé la bouche grande ouverte. Il correspond plus précisément à la partie sous diaphragmatique c’est-à-dire les chakras muladara, svadhisthana, manipura (chakra racine, chakra sacré et plexus solaire).
- Le « O » représente la continuité. Il est prononcé en arrondissant la bouche pour dessiner un « O » avec les lèvres. Il concerne essentiellement la région thoracique.
- Le « M » représente la fin avec la possibilité de renouveau. C’est à ce moment la transcendance d’un état à un autre. Il est prononcé la bouche fermée et vibre plus spécifiquement dans la tête.
Le passage d’une position à une autre se fait progressivement, dans une continuité qui ne doit pas être saccadée même si la durée en est courte.
Lorsque vous chantez le OM, il vous est recommandé de limiter la phase du « A » à une simple esquisse. ll ne faut pas vous y attarder.
Par contre, c’est sur le « O » que vous devrez prolonger le chant et faire vibrer le plus longtemps possible et si vous le souhaitez en portant toute votre attention sur la région cardiaque qui est alors en résonance. Cet effet induit un message en profondeur de toute la région. Or, cette région est la plus tendue en cas d’émotions, de tensions, de nervosité… La pratique du son « O » prolongé permet une détente en douceur de cette partie qui va libérer une sensation de calme et de paix. Parfois, une sensation d’ouverture se produit qui va permettre de faciliter les échanges avec les autres. Les relations avec autrui s’en trouvent facilitées.
Le « M » tout comme le « A » ne doit pas être prolongé. Il ne sert à rien de vouloir prolonger la fin qui doit de toute façon se terminer. Le « M » résonne beaucoup dans la tête. Nous ressentons comme le phénomène d’une transcendance qui fait passer les énergies de la matière la plus dense à la vie la plus subtile. Le ‘M’ n’est pas sans nous rappeler le « humm » que nous prononçons lorsque nous apprécions par le seul aspect extérieur un plat. Le “humm” traduit la transformation du plaisir gustatif physique en un plaisir plus subtil et fin.
En résonnant dans toute la région céphalique, le « M » va apporter un apaisement de toutes les pensées parasites. Elles vont soudain apparaitre comme disciplines et couler en un seul flot.
Des effets biens connus
Le OM entraîne tout comme dans un exercice de pranayama, un allongement du souffle et notamment de l’expiration qui en est la partie tha (yin). Ainsi, il contribue à la détente et la recharge de l’énergie de réserve. Da pratique s’adresse aux personnes épuisées et excitées à la fois (vide de yin et plénitude de yang). Mais, par son action rééquilibrante globale, le OM agit sur toutes les régions du corps en permettant une harmonisation totale. Cet exercice est souvent le seul chez des personnes dispersées, excitées, nerveuses à provoquer un état rapide d’apaisement et préparer à la méditation.
Même, si ses applications sont méconnues du grand public, sa pratique acquiert progressivement ses lettres de noblesse tout comme la relaxation et la respiration qui ont droit de cité dans le traitement des troubles liés au stress et à l’anxiété. En définitive, la pratique du chant OM est l’une des plus simples qui soit. Elle ne requiert aucun matériel ni artifice, elle ne nécessite que notre Présence. Mais elle est l’une des plus efficaces pour nous mener de la souffrance à la santé.

