Bhakti Yoga« La vrai religion ne consiste pas en observances, rituels, bains et pèlerinages, mais à aimer toute chose. L’amour cosmique embrasse tout et inclut tout.
En présence de l’amour pur, toute discussion et différence ainsi que toute haine, jalousie et égoïsme sont dissipés, comme l’obscurité est dissipée par les rayons pénétrants du soleil à l’aube.
Aucune religion n’est plus élevée que l’Amour. Aucune connaissance ne surpasse l’Amour. Aucun trésor n’est plus grand que l’Amour, car l’Amour est la vérité. L’Amour est Dieu. »
Swami Sivananda (Méditation et Mantras).La Bhakti
Le mot » bhakti » vient de la racine » bhaj » qui signifie » être attaché à Dieu « . La bhakti est la dévotion envers Dieu. Elle est la forme d’amour suprême envers Dieu. C’est l’amour pour l’amour. Le bhakta (l’adorateur) désire Dieu et Dieu seul, sans aucune attente égoïste.La bhakti adoucit le cœur, efface les défauts et les vices. Elle apaise le flux des émotions. Elle verse dans le cœur, la joie, l’extase, la bénédiction et la connaissance. Elle permet au fidèle de communier constamment avec Dieu, avec sa Divinité favorite.
L’exaltation émotionnelle n’est pas de la dévotion. Le fanatisme n’est pas de la dévotion. Ce ne sont qu’excitation et frénésie. La dévotion est l’accord de la volonté et de l’intellect avec Dieu. La Bhakti est l’approche directe de l’idéal à travers le cœur.Le Bhakti Yoga est le chemin de la dévotion. Il s’adresse à la majorité des hommes, des femmes. Il peut être pratiqué en toute circonstance. Il ne nécessite ni érudition, ni pénitences austères, ni lectures assidues de textes sacrés, ni de longues études métaphysiques, ni un intellect brillant. Seul est demandé un cœur disponible pour accueillir Dieu, sous la forme de sa Divinité favorite. Il faut seulement rester dans le souvenir constant et vivant de Dieu en soi. C’est le chemin de la Foi. Tout être vivant est en capacité de le parcourir. La voie du bhakti yoga est ouverte à tous. Il attire naturellement les êtres qui ont un tempérament à prédominance émotionnelle.
L’enfant pense à sa mère et sa mère pense à lui en permanence. L’amoureux pense à sa promise et celle-ci ne pense qu’à son amoureux. L’homme cupide pense à son argent et seulement à son argent. De même, le bhakti yogi pense à sa Divinité favorite. Il garde l’image de celle-ci en son cœur.
Les désirs matériels entravent le développement de la dévotion. Le renoncement aux biens matériels est l’essence même de l’amour Divin. Le bhakti yogi aime Dieu. Il le sert. Il sert sa création.Si dans les autres voies du Yoga (Karma Yoga, Jnana Yoga et Raya Yoga), les émotions sont traquées, déracinées, car liées à l’attachement et au désir; à l’inverse dans le Bhakti Yoga, les émotions sont converties en amour inconditionnel pour Dieu. Les émotions inférieures (égoïsme, colère, haine, jalousie, …) sont transformées, sublimées. Elles servent de vecteur afin de guider le bhakta yogi vers la libération. En se purifiant, le cœur reçoit le flot continu de l’amour Divin.
Un raja yogi atteint le plus haut degré de réalisation par la maîtrise de son mental, un karma yogi par le service désintéressé, un jnana yogi par l’étude et l’analyse et un bhakti yogi par la dévotion et l’abandon à Dieu. Le but est le même, seules les méthodes sont différentes.
« Lorsque vous priez pour la santé, le bonheur et la paix d’autres personnes, vous devenez un canal pour le flot de la grâce divine. L’eau qui stagne dans une mare risque de croupir tôt ou tard, mais celle qui traverse une canalisation ne se salit jamais car elle coule tout le temps. De même, si l’on reste un canal pour le flot de la grâce divine, on conserve toujours un cœur pur et empli de cette grâce divine « . Swami Sivananda (Sivanand Upanishad)
Comment cultiver la dévotion ?Dans l’enseignement du Bhakti Yoga sont définis neufs moyens pour éveiller et développer la dévotion :
L’écoute des louanges de Dieu et de ses œuvres : les récits d’épopées védiques, les histoires religieuses…
Le souvenir constant de Dieu : Percevoir Dieu en toute chose, dans la prière, dans la vie de tous les jours
Le chant des louanges de Dieu : chanter les hymnes sacrés, les chants religieux…
Le salut à Dieu : Se prosterner devant les représentations symboliques de Dieu
Les offrandes à Dieu : les rituels sacrés, les cérémonies d’adoration, les cultes religieux, …
Adorer les pieds du Seigneur : Rituel d’adoration des pieds du Seigneur, du Maître spirituel
Un sentiment d’amitié pour Dieu : Etablir en soi une relation personnelle avec Dieu
Le service à Dieu : Cultiver le sentiment d’être le serviteur de Dieu
L’abandon de soi à Dieu : Remplir son cœur d’un sentiment d’abandon complet à DieuDe même, la compagnie de saintes personnes, la méditation, le chant sacré, la lecture des textes sacrés, le service de saintes personnes, le pèlerinage, la charité aideront au développement de la dévotion.
Par ces pratiques, de nouveaux sillons se creuseront dans le cœur, durci par l’égoïsme. Un espace d’ouverture pourra alors se créer dans le cœur. Ce dernier pourra enfin se tourner vers Dieu, vers les autres dans une communion réelle et complète.
Source; SAMÂDHI, ou le sentier vers l’Eveil…Forum spirituel, dédié à l’Eveil de la Conscience et à la Quête du SOI – (Advaïta Vedãnta)
Qu’est-ce que la bhakti ? d’après le blogshivaisme-cachemire.blogspot.fr
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Lachez
La relaxation est votre droit naturel !
Il devrait être possible, pour chacun de nous, de vivre nos vies dans un état de relaxation physique et mentale – ceci est notre condition naturelle ou droit de naissance. Mais beaucoup de gens ont perdu de vue ce fait. Les exigences complexes de notre époque mouvementée et la lutte pour mener une carrière tout en s’occupant d’une famille, sont les raisons pour lesquelles bien des gens se retrouvent dans un état constant de stress. La plupart du temps ce sont des tensions physiques et mentales qui se manifestent même souvent pendant le sommeil.
Perte d’énergie à cause de la tension
Une tension inutile mène non seulement à une sensation de gêne mais consomme également de l’énergie. Elle est la cause de fatigue anormale et demaladie. Migraine, cou tendu ou articulations douloureuses peuvent en être le résultat. Nous dépensons beaucoup d’énergie pour garder nos muscles dans un état de tension continuelle et le plus souvent nous n’en sommes même pas conscients ! Sans une relaxation correcte, le corps et le mental sont surmenés et ne peuvent fonctionner correctement.
Relaxez-vous correctement!
Le corps et le mental expérimentent un état de relaxation plus profondquand nous dépensons peu ou pas d’énergie. Ceci est la manière naturelle de se détendre. Comme chaque action, consciente ou inconsciente, consomme de l’énergie, une relaxation correcte est d’une importance capitale. Une relaxation parfaite se compose de trois parties : relaxation physique, mentale et spirituelle. Quand nous maîtrisons l’art de la relaxation correcte, nous possédons la clef de lasanté, de la vitalité et de la paix intérieure.
http://www.sivananda.eu/
La Méditation étape par étape
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« Svadhyaya » : l’autoanalyse
Toute activité qui favorise l’étude de soi, l’examen de son comportement, de ses émotions et de ses pensées relève de svadhyaya. C’est donc tout aussi bien savoir prêter attention à ce que l’on ressent et pense durant la pratique, que lire, étudier, se nourrir d’expériences rapportées par d’autres et qui trouvent un écho en nous. Mais il s’agit moins d’une quête que d’une posture intérieure ; lorsque nous sommes dans cette attention à ce qui se passe en nous, les livres ou les rencontres nourrissantes viennent à nous, plus que nous les choisissons. L’écoute de soi engendre une écoute plus largement ouverte sur l’extérieur.
http://www.psychologies.com/
http://yoga-sainte-baume.fr/559
La deuxième branche du yoga (qui en compte huit) selon Patantanjali, niyamas, concerne les attitudes envers soi-même. Le yoga sutra prône l’observance de cinq principes : Saucha la pureté, garder notre corps et ce qui nous entoure en état de propreté et de netteté. Samtosha le contentement ou la faculté de se sentir à l’aise avec ce que l’on a et avec ce que l’on n’a pas. Tapas ou l’ascèse du juste milieu. Swadhyaya l’étude de soi, par le chant, la lecture des textes sacrés. Ishvarapranidhana la vénération d’une intelligence supérieure
« Par la pratique des tapas, les impuretés sont détruites et le corps et les sens deviennent parfaits »
Tapas signifie : action , effort ardent, ferveur, autodiscipline, austérité, ascèse, chaleur…
Tous ces mots traduisent l’idée que l’adepte souhaite se forger le caractère en vue d’atteindre un certain objectif dans la vie. Cette volonté de transformation s’applique aussi bien au corps qu’à la parole ou à l’esprit. Cette discipline de vie signifie ici aussi l’ascèse du juste milieu qui satisfait les besoins réels de l’être, c’est- à- dire prendre soin du corps, de l’esprit sans les encombrer d’éléments inutiles ou nuisibles.
Lorsque l’on commence une activité, cela demande pas mal d’effort, de discipline et de motivation. Il arrive, surtout quand on débute, que l’on soit découragé : « je n’arriverai pas à faire cette posture, c’est bien trop dur le yoga ». Mais il n’y a pas de miracle et il y a qu’une seule façon d’y arriver : pratiquer encore et encore, en essayant différemment. Le yoga prend du temps. On a parfois envie d’aller plus vite, être plus fort, plus souple, faire des postures impressionnantes. L’important est le cheminement. Le yoga, c’est une pratique régulière, constante, pour que les progrès se fassent et s’impriment dans notre corps. Pratiquer régulièrement cette discipline, c’est cultiver l’effort. C’est valable pour d’autres activités : apprendre une langue, apprendre à jouer un instrument de musique, courir sur des longues distances, etc..
Insufflez de la flamme à votre pratique comme à votre existence, y compris dans les aspects les plus banals de votre vie. Le tapas nous incite à l’autodiscipline qui nous permet de rester concentré sur notre voie spirituelle.
Rester concentré sur ces objectifs, c’est déjà s’en approcher. Soyez tenace et ne cédez pas à la tentation de renoncer. ;-))
Pratiquement, comment appliquer tapas … sur mon tapis ? Comment est-ce que je dose mon effort pendant ma pratique? Est-ce que j’en fais trop ou pas assez ? Est-ce que je reviens régulièrement faire du yoga ?…
Et … dans la vie de tous les jours ? Ai-je un bon équilibre sur tous les plans de ma vie quotidienne : sommeil, activité physique, réflexion, loisirs, nourriture, pratique de yoga… sinon comment retrouver le juste milieu ?, Cette ascèse ne s’obtient -elle que par la volonté ?, Qu’est-ce qui est important dans ma vie ?…
(Sources : le yoga malin -Mathilde Piton , Yoga manuel pratique -Jacques Choque, Yoga-Sutra de Pantanjali- B.Buanchaud.)
Kriya Yoga de Patanjali
Cette notion de Kriya-Yoga est introduite dans le premier sutra du deuxième chapitre. Le Kriya-Yoga ou Yoga de l’action, est composé de 3 éléments, qui doivent être développés simultanément. TAPAS – SVADHYAYA – ISHVARA PRANIDHANA
1. TAPAS
Idée de nettoyage, de purification. Concerne surtout le plan corporel. C’est la pratique (les postures, les respirations), mais aussi l’hygiène de vie (alimentaire, sommeil, …) pour ne pas s’intoxiquer.
2. SVADHYAYA
C’est l’étude de soi. Apprendre à se connaître :
- en allant voir un professeur, un maître
- en étudiant les textes sacrés, car ils sont les reflet de ce nous sommes. (Rôle de miroir : niveau psychologique)
3. ISHVARA PRANIDHANA
C’est s’en remettre à ce qui nous dépasse. Accepter nos limites, nos insuffisances, que nous ne comprenions pas tout. C’est avoir confiance, abandonner le fruit de l’action, déposer aux pieds du Seigneur (niveau spirituel)
Patanjali nous dit que la pratique du Kriya-Yoga (donc de ces 3 éléments) permet d’avoir un avant-goût de Samadhi (de l’état d’union, de béatitude) et aussi de diminuer la souffrance due aux afflictions (klesha).
Explication de Françoise Mazet
La pratique est donc notre moyen d’action. Mais quel type de pratique ? Faire des exercices physiques et respiratoires, et laisser à nouveau le mental entraîner la conscience dans le tourbillon de ses modifications incessantes ? Le mot Tapas exprime que notre vigilance, notre intérêt pour cette connaissance de la réalité, doit être constante, ininterrompue, qu’elle doit s’exercer dans les actes simples du quotidien afin de développer l’intuition de soi que Patanjali appelle Svadhyaya.
Que ce mot signifie à la fois étude de soi et étude des textes sacrés est révélateur. C’est l’êtreté qui donne un sens au savoir. La connaissance des textes est inutile si elle ne recoupe pas la connaissance de soi, dans l’expérience de la pratique.
Et ce travail intérieur ne porte ses fruits que si on le soutient avec patience et humilité, dans l’acceptation de ce qui est, dans un état d’abandon au Seigneur, dit Patanjali, qui, à nouveau, nous rappelle que la juste attitude face à la vie ne peut ignorer la dimension divine.
http://yoga-sdg.over-blog.com/
exercices personnes agées
Les bienfaits du yoga pour toutes les phases de la vie
yoga saint maximin la sainte baume
Le yoga, discipline millénaire en provenance de l’Inde a fait une entrée fulgurante en Occident depuis plus d’un demi-siècle. Aujourd’hui plus que jamais, ses bienfaits sur la santé globale sont vantés partout! Les campagnes publicitaires diverses l’ont bien compris et se servent d’images de yogis pratiquant des postures pour vanter les mérites de tel produit ou service pour votre bonheur et votre sérénité!
Si le yoga peut contribuer, entre autres, à améliorer la santé cardio-vasculaire et cardio-respiratoire, à réduire les troubles musculo-squelettiques, à traiter l’insomnie, les maux de tête, la dépression, etc., il est bon de se rappeler encore et toujours, comme Swami Sivananda le disait souvent : « une once de pratique vaut mieux qu’une tonne de théorie ».
Voyons donc alors ensemble comment le yoga peut convenir par sa pratique à toutes les phases de la vie humaine et s’intégrer dans un style de vie des plus bénéfiques à tout âge.
La grossesse
Une femme enceinte, dès le premier trimestre de grossesse, a tout avantage à pratiquer du yoga prénatal, spécialement adapté pour cette période si magnifique et si intense de la vie. Autant sur le plan physique, psychologique qu’émotionnel, la grossesse et l’accouchement constituent une aventure aux multiples perturbations pour un corps humain. Le yoga, travaillant toutes les dimensions de l’être dans sa globalité (pour les unir), s’attardera donc grâce aux postures visant à soulager le dos, le nerf sciatique et à préparer le bassin et le plancher pelvien. Mais il préparera aussi la future maman, grâce à la respiration, la relaxation, la visualisation et la méditation à affronter le grand jour de la naissance avec plus de sérénité et de conscience.
L’enfance
Une fois le bébé arrivé, dès qu’il a deux mois et demi, une maman peut sans crainte faire du yoga avec son poupon, permettant ainsi la création d’un lien affectif unique par le toucher, le mouvement et la respiration tout en se remettant en forme en douceur. Je suis toujours émerveillée de voir ces bébés qui après 2 ou 3 séances de yoga suivent la relaxation guidée, blottis contre leur mère, et reviennent au mouvement progressivement quand elle est terminée et que je les y invite.
Dès son plus jeune âge, le bambin va s’adonner à certaines postures de yoga en imitant un adulte. Rappelons-nous que, sans le savoir, son émerveillement dans l’instant présent, sa concentration et son application dans le jeu sont autant d’attitudes de yogi.
Le yoga n’étant pas seulement une gymnastique physique se limitant à des postures mais bien plus une qualité de vie et de connaissance de soi, de recherche de l’union entre le corps, le mental et l’esprit. C’est un immense cadeau que l’on fait à son enfant que de l’initier très tôt à cette merveilleuse discipline.
Dès 3 ans l’enfant pourra suivre seul ou avec ses parents, frères et sœurs une petite séance de yoga spécialement adaptée pour lui ou pour la famille.
De plus en plus de parents, de garderies, d’écoles utilisent le yoga ponctuellement ou même à chaque jour pour aider les enfants à mieux gérer leur stress, tout en découvrant leur corps et ses multiples possibilités de mouvement dans un climat de respect, de non-violence et de non-compétition. Les enfants aux besoins particuliers (hyperactifs, déficit d’attention, autistes, etc.) en retirent également d’immenses bienfaits.
D’un naturel flexible les enfants s’adonnent avec grand plaisir à ce jeu fascinant qui consiste à imiter des animaux ou des éléments de la nature. La relaxation leur est aussi extrêmement bénéfique et ils vont même la réclamer avec hâte à la fin d’une séance, pour se reposer des efforts physiques accomplis, mais aussi parce qu’ils veulent s’évader dans « le petit écran en arrière de leurs yeux. ».
L’adolescence et les adultes
Dès la fin de son primaire un jeune pourra suivre plus facilement les mêmes postures et enchaînements qu’un adulte. À l’adolescence, le yoga peut aussi merveilleusement aider les adolescents à accepter et à bien vivre les changements intenses vers l’âge adulte, autant sur le plan physique, hormonal, psychologique qu’émotionnel.
Le yoga s’adapte à chaque personne et non le contraire et c’est au professeur d’adapter la pratique en fonction de l’âge mais aussi de la condition physique, des limitations éventuelles, de la morphologie et de l’état de santé de la personne.
Selon l’enseignement classique du yoga pour porter ses fruits, le yoga doit être adapté adéquatement à chacun.
Les aînés
Les aînés pourront eux aussi, de façon sécuritaire, s’adonner à cette discipline et ils pratiqueront alors plus souvent avec une chaise et adapteront les postures pour répondre aux changements inévitables que le temps imprime sur leur corps.
Une chose est certaine : maintenir une activité physique quotidienne contribue à garder un corps sain et un esprit serein !
Tout le monde peut s’adonner aux postures de Hatha-yoga; nul besoin d’être très souple comme un gymnaste ou un athlète olympique. Le yoga est pour tous, en autant que l’on choisisse la forme de yoga et le type d’enseignement qui nous conviennent, en vérifiant toujours l’expérience et la formation du professeur, pour se laisser guider adéquatement vers son mieux-être.
Gaëlle Cosnuau
Ecoute
Dharana (Concentration)
YOGA ST MAXIMIN LA SAINTE BAUME
CONCENTRATION SUR plexus solaire
Plexus solaire est souvent appelé le cerveau abdominale. Il est un centre important des nerfs, connecté avec le système nerveux sympathique. Il est situé dans la région épigastrique, derrière le creux de l’estomac de chaque côté de la colonne vertébrale. Il a le contrôle sur les principaux organes internes de l’homme. Il joue un rôle beaucoup plus important que ce qui est généralement reconnu. Il prend une part importante dans le contrôle des émotions et des différentes fonctions corporelles. Il est composé de blanc et gris matière cérébrale. Il est l’une des parties les plus vitales de l’organisme. Un coup sur le plexus solaire est bien connu des hommes à la boxe comme un moyen facile de rendre un adversaire inconscient ou à tout impuissants de taux. Il est le magasin-maison de Prana. Il est la maison de puissance. Il est le plus important de tous les supports (Adharas) du corps, qui sont au nombre de seize. Il est un fait connu que les hommes ont été instantanément tué par un coup sévère sur le plexus solaire. Le plexus solaire est littéralement le soleil du système nerveux. Lorsque le soleil brille harmonieusement, l’ensemble du système physique est harmonieux. Elle irradie force et d’énergie à toutes les parties du corps. Pensées et Prana, lorsqu’elle est dirigée vers ce centre par pranayama, vont stimuler et éveiller le soleil y latente.
Tenez-vous droit dans Padmasana ou Siddhasana. Ferme tes yeux. Dessinez l’air lentement par la narine gauche aussi longtemps que vous pouvez faire avec confort. Gardez la droite fermée avec le pouce droit. Répétez Om mentalement. Puis retenir le souffle. Ont l’attention bien dirigée vers le plexus solaire. Concentrez votre esprit là. Avoir la pensée centrée sur elle. Ne faites pas de pression excessive de l’esprit ou effort excessif d’aucune sorte. Direct consciemment le Prana dans la région du plexus solaire par le souffle retenu. Imaginez: « Je respire dans Prana, le bonheur, la joie, la force, la vigueur, l’amour. » Puis expirez lentement par la narine droite. Puis inspirez par la narine droite, le conserver comme avant et expirez par la gauche. Répétez le processus 12 fois dans la matinée. La peur, la dépression, la faiblesse et autres émotions indésirables, qui se dressent sur le chemin de l’avancement spirituel, vont disparaître. Vous allez devenir de plus en plus confiants de la réussite dans la réalisation du Soi.
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